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Groupe de réflexion en Uzège – Pays d’Uzès – Pont du Gard

Les chiffres disent ce qu’on veut.

Cet humoriste est l’homme le plus sérieux du PAF. Et aussi le plus courageux avec quelques autres. L’immense majorité de nos “stars et vedettes” se planquent et vont à la soupe, tombée par terre pourtant. On n’ose imaginer leur engagement sous époque plus sombre historiquement. Honneurs et respect Mr Alévèque ! Sommes plus que jamais de vos admirateurs.

Avant et après 1973

Dette : la France esclave des marchés financiers ? Émission spéciale après la dégradation de la note financière de la France par Fitch. Avec Philippe Murer, économiste et Maxime Le Nagard, rédacteur en chef de Front Populaire La Revue.

L’Europe en otage ?

Dostena Anguelova-Lavergne, écrivain, journaliste, docteur en anthropologie sociale, ethnologie politique et auteur de “L’Europe en otage” (éditions Le Murmure).

L’Europe apparaît prise en otage par une économie du savoir et du pouvoir qui empêche l’évolution de la société en lien avec ses traditions et son expérience immédiat de la réalité. A lire pour comprendre la paralysie des élites européenne globalisées qui vivent à l’heure américaine. Ce livre offre une approche anthropologique inédite des réseaux des think-tanks après 1989 dont le développement explique l’endogamie croissante des élites financières, politiques, médiatiques et intellectuelles. En outre, il s’appuie sur des terrains d’observation directe en Bulgarie, en Grèce et en France et une base bibliographique et documentaire internationale, offrant ainsi une nouvelle perspective sur le rapport Est-Ouest.

Coup d’Etat en Europe ?

Olaf Scholz souhaite en finir avec la règle de l’unanimité au Conseil, en lui substituant celle de la majorité qualifiée. Cette proposition ne doit pas non plus être prise à la légère. Si elle venait à être adoptée, tout le subtil et efficace équilibre entre nations qui caractérise la construction européenne en serait transformé. Elle signifie à terme l’éjection de la France du Conseil de sécurité de l’ONU, parce qu’elle finirait par être remplacée par un représentant de l’UE, ce qui correspond à une demande réitérée de la quasi-totalité des membres de l’Union. Cela signifie que l’Union européenne ne fonctionnerait plus comme une union d’États-nations avec des intérêts propres mais comme la juxtaposition de membres européens d’un grand corps qui serait l’Europe. Autrement dit, qu’il serait de plus en plus difficile de faire jouer la clause de défense de l’intérêt national, si cela s’avérait nécessaire. Il faut prendre conscience de l’engrenage qui serait enclenché. Autant le dire clairement: c’est inadmissible, car c’est une atteinte insupportable à l’indépendance nationale. Si la France entre dans cette logique, en dépit de toutes les précautions de langage, c’est la fin de l’indépendance nationale.

Le manifestant professionnel

Dans ce sketch impertinent, Jean Yanne interviewait un militant, joué par Daniel Prévost, qui se présentait comme « un manifestant professionnel ». C’est d’ailleurs le titre de cette saynète jouée, en direct et en public. Sa profession plutôt originale et très altruiste, expliquait-il, consistait à manifester « à la place de ceux qui travaillent ».

Mais on ne devenait pas manifestant professionnel par hasard, poursuivait Daniel Prévost, ce spécialiste du pavé précisait qu’il fallait « d’abord faire des études » pour être habilité à défiler dans des réunions de toutes les tailles, « jusqu’au meeting ». Un vrai sacerdoce, effectivement, puisque ce citoyen compatissant ajoutait se plier à une discipline de fer, enchaînant les défilés.

A qui vont les subventions ?

André Bercoff est l’invité d’Eric Morillot : “Les attributions de subventions, ça part très souvent aux copains sinon aux coquins !”

Entretien très intéressant avec M. Berkoff. Un franc-parler comme on aime, une intelligence vive, une dynamique journalistique qu’on a peur de voir disparaître du paysage médiatique. Pourvu que Sud radio lui accorde encore longtemps cette liberté d’expression…

Inquiétant projet de l’OMS

Si sur le papier, cet objectif collaboratif paraît vertueux, des scientifiques alertent néanmoins sur les risques inhérents à ce programme. Selon eux, ce type de collaboration pourrait être la porte ouverte à la perte de souveraineté pour les pays, ainsi que le risque d’instaurer des états d’urgences amenant à la perte des libertés des citoyens, dès lors qu’une épidémie sera déclarée : « Que va-t-il se passer quand le chef de l’OMS va appuyer sur le bouton ‘pandémie’ ? Ces médecins et chercheurs insistent particulièrement sur leur indépendance. Leur manque de confiance en l’OMS provient principalement des conflits d’intérêts qu’ils dénoncent entre les membres de l’organisation et les grands laboratoires pharmaceutiques, producteurs des vaccins, entre autres et sur le financement de l’organisation fondée en 1948, ou encore sur la censure des médias et chercheurs opposés à son discours.